Bovins de boucherie Léger recul des prix en réformes laitières
La faible demande, en lien avec le début des vacances de la Toussaint, pèse sur le commerce. En allaitantes, le marché n’est pas surchargé mais les abatteurs maintiennent leurs tarifs compte tenu des besoins réservés dans les pièces arrière. En réformes laitières, les industriels font pression sur les prix, même si les baisses ne sont pas toutes équivalentes.
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Sur le marché de Cholet, les bonnes femelles parthenaises E restent valorisées entre 6,30 et 6,50 €. Celles de conformation U partent entre 5,20 et 6,20 €. Les prix des blondes d’Aquitaine lourdes se maintiennent entre 5,70 et 5,90 € en fonction du poids tandis que les limousines U sont cotées entre 5,50 et 5,70 €. Les charolaises R+/U– affichent des niveaux stables, à 5,35 €. Les vaches R= se vendent entre 5,20 et 5,30 €.
En réformes laitières, les prix des bonnes vaches O plafonnent entre 4,85 et 4,90 €. La baisse est plus sensible (–0,05 €) parmi les sujets de milieu et de bas de gamme. La grande majorité des vaches P= se négocient entre 4,35 et 4,80 € en fonction du poids et des abattoirs. Le tri reste marqué du côté des réformes P–1 et 2 qui se vendent entre 3,00 et 3,55 € en fonction du poids.
En jeunes bovins, malgré un commerce qui reste compliqué sur l’Italie, le recul de l’offre permet de maintenir des échanges assez réguliers. Les tarifs reprennent quelques centimes. Les charolais U= se négocient entre 5,15 et 5,30 €.
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